Qui n'a pas peur de l'islam Politique et Terroriste?
Opposition ferme à l'utilisation du terme « islamo phobie »


Parmi les idées novatrices, rationalistes et humanistes que David Abbasi (alias Siyavash Awesta) défend depuis des années, figure sa ferme opposition à l'utilisation du terme « islamo phobie ».



Ce mot, apparu pour la première fois dans les discours d’ayatollahs iraniens, a été instrumentalisé comme une arme contre la démocratie et la laïcité occidentales.

Il a ensuite été repris par des islamistes radicaux notamment les Frères musulmans pour intimider les intellectuels et faire taire les critiques.

Lors du procès des attentats contre Charlie Hebdo, ce terme a même servi de prétexte aux extrémistes islamistes pour tenter de justifier leurs actes.

David Abbasi a longuement analysé cette stratégie et mis en garde l’Occident contre le piège tendu par les ayatollahs de Téhéran et leurs alliés idéologiques.

Il souligne que le terme «islamophobie» est souvent utilisé pour délégitimer les critiques légitimes de l’islam politique, en les amalgamant à de la haine irrationnelle.

En ce 1er mai 2025, de nombreuses personnalités françaises de renom s’élèvent contre l’usage de ce mot par des groupes islamistes et certains courants de la gauche caviar pro-iranienne et pro-russe, qui soutiennent l’islam politique pour des motifs idéologiques ou économiques.

Dans le passé, David Abbasi avait déjà exhorté le président Emmanuel Macron à éviter l’usage du mot «djihadistes» pour désigner les terroristes islamistes, estimant qu’il leur confère une légitimité religieuse qu’ils ne méritent pas.

Le mot « phobie », issu du grec ancien phobos, signifie « peur », « crainte ». Or, des millions de personnes dans le monde vivent aujourd’hui dans une peur bien réelle de l’islam politique et de ses actes terroristes.

Depuis la création des Frères musulmans, des dizaines de milliers de victimes ont été frappées par cette idéologie.

Cette organisation est d’ailleurs interdite dans plusieurs pays musulmans tels que l’Arabie saoudite, l’Égypte, la Jordanie ou encore certains pays d’Afrique du Nord précisément à cause de la terreur qu’elle inspire.
Comme le rappelle toujours David : « On ne peut pas avoir peur d’un homosexuel, mais on peut et on doit avoir peur d’un fondamentaliste qui tue chaque jour des innocents, aux quatre coins du monde, au nom d’une religion. »
Et il ajoute : « Moi, qui ai vu mon père et des dizaines de mes amis et camarades assassinés au fil des décennies, de l’Iran à Paris, au cri de slogans religieux, je sais que cette peur est légitime.
Oui, il faut avoir peur de l’islam politique. »

Même le président Donald Trump, dit-on, détourne le regard avec effroi lorsqu’il entend le cri « Allah Akbar ».

https://youtu.be/68Le5fgOQrk?si=pA0PK8AThoBTE6Iv



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